Nombre total de pages vues

mercredi 6 février 2013

Présentation de la FGR-FP


Diffusion dématérialisée du dépliant FGR:

Le dépliant de présentation de la FGR, en direction des non syndiqués et non adhérents de la FGR-FP, a été actualisé en la forme et au fond pour 2013.
Comme habituellement il a été tiré à 40 000 exemplaires sous forme papier et envoyé aux sections.
Ce dépliant est un outil important pour faire découvrir notre Fédération. Il représente un investissement financier non négligeable. Il est indispensable de le valoriser au maximum.
Le moyen moderne de communication que constitue internet nous permet de multiplier la diffusion de ce dépliant sans aucun coût financier supplémentaire grâce à une action militante à la portée de tous ceux qui ont la disposition de ce moyen de communication.
Pour donner la possibilité de diffuser au maximum notre dépliant, merci de bien vouloir l'envoyer par mail, en pièce jointe, à tous les adhérents de la section dont vous avez l'adresse internet, en leur demandant que chacun veuille bien ensuite le transmettre également par mail (toujours en pièce jointe) à des amis ou connaissances fonctionnaires retraités non adhérents de la FGR-FP.
L'envoi dématérialisé du dépliant de la FGR-FP peut être accompagné d'un message simple tel que:"Découvrez la Fédération Générale des Retraités de la Fonction Publique".
Avec tous nos remerciements pour cette action destinée à fair connaître et à essayer de développer la FGR-FP.
En pièce jointe la version dématérialisée du dépliant.

Le Bureau National. 




















vendredi 18 janvier 2013

1er bulletin de la section FGR-FP VENDÉE

Amis lecteurs,
Après plusieurs mois de silence, vous trouverez ci -après le bulletin N°51 (janvier 2013) de la section de la FGR-FP VENDÉE.
Bonne lecture.






mercredi 25 avril 2012

CIRCULAIRE NATIONALE FGR-FP



 
Défense du pouvoir d’achat
des pensions et des retraités


Tous régimes confondus, plus de 16 millions de personnes, dont 14,8 millions résident en France bénéficient d’une pension de droit direct ou dérivé (1). La pension représente la plus grosse partie des revenus des retraités. Le niveau de vie des retraités apparaît inférieur d'environ 15% à celui des actifs. L’érosion du pouvoir d’achat des retraites par rapport aux salaires, et la grande disparité des situations des retraités, amènent à considérer d’autres réalités.

Dans une majorité des cas, le départ à la retraite entraîne une baisse importante de revenus. Cet écart traduit le taux de remplacement par rapport au dernier salaire qui varie, en fonction des carrières, dans une fourchette de 55 à 75%. La retraite moyenne (de droits directs) tous régimes confondus, s’établit à 1 245 €/mois. Mais cette moyenne cache elle aussi de fortes inégalités, notamment entre les hommes et les femmes. La retraite moyenne d’une femme représente en effet 53% de celle d’un homme.

1. L’amélioration du pouvoir d’achat des retraités
1.1. Des dépenses contraintes et un « reste à charge » qui pèsent sur particulièrement sur les plus modestes
Entre 2007 et 2010, le panier de dépenses constitué par les produits alimentaires, le logement-gaz-énergie-eau, la santé, les autres biens et services, les transports, ont augmenté plus rapidement que les prix, soit 8,2% en moyenne contre 5,9%. Ce différentiel résulte essentiellement des augmentations importantes du logement, des transports et les autres biens et services. Les dépenses de santé s’accroissent du fait de la multiplication des franchises et forfaits, des déremboursements de médicaments, des dépassements d’honoraires, etc.). La part budgétaire des dépenses contraintes, comme le logement, l’énergie, etc. croît régulièrement et inversement aux revenus.
Par ailleurs, le « reste à charge » est très important. Il est de l’ordre de 1400€/mois) en cas de perte d’autonomie pour le maintien à domicile ou en établissement. Il se montante à 2 000 € en moyenne par mois, du fait du coût élevé des séjours en maison de retraite.

(1) Source : Drees « les retraites et retraités en 2010 »


1.2. Une dégradation du pouvoir d’achat des retraites par rapport aux salaires
Du fait de l’augmentation plus rapide des salaires, alors que les pensions évoluent comme les prix au on constate que le pouvoir d’achat des pensions de retraite ne cesse de se dégrader au regard de l’évolution des salaires et notamment du Smic, comme l’illustre le tableau ci-dessous :
Comparaison des évolutions du salaire moyen brut (secteur marchand non agricole), du Smic et des pensions de vieillesse du régime général, en moyenne annuelle (en euros courants)
Années
Salaire moyen brut EB-EP (1)
SMIC brut
Pension moyenne du régime général (2)
Revalorisation des pensions de vieillesse du régime général
1990
100
100
100
100
2000
126,7
134,5
124,5
118,6
2008
158,8
181,2
136,4
(p) Prévisions établies en fonction des hypothèses économiques du ministère de l’Économie et des Finances.
(1) Ensemble du secteur privé à l’exception de l’agriculture (Source : ministère de l’Économie et des Finances).
(2) Montant moyen des droits contributifs y compris allocation supplémentaire versée par le régime général. (Source : ministère du Travail, des Relations sociales et des Solidarités).

1.3. La perte d’un trimestre de revalorisation en 2009
La loi de financement de la Sécurité sociale pour 2009 a réformé certaines des modalités de revalorisation annuelle des pensions de retraite de l’ensemble des régimes obligatoires de base, y compris ceux de la fonction publique :
- la revalorisation intervient désormais au 1er avril de chaque année (au lieu du 1er janvier) ;
- le taux de revalorisation retenu est fixé par la Commission économique de la nation, fin mars, en fonction de la prévision d’inflation pour l’année en cours à prendre en compte.
La date de revalorisation annuelle de pensions a été ainsi reportée, du 1er janvier au 1er avril, sans effet rétroactif au début d’année. Ce report a fait perdre en 2009 un trimestre d’augmentation : les retraites modestes en ont le plus pâti.


2. Un minimum de pension des régimes obligatoires au moins égal au Smic pour une carrière complète
La loi de 2003 portant réforme des retraites s’est fixé pour objectif d’assurer à un salarié ayant cotisé pour une carrière complète, une pension totale, base et complémentaire, au moins égale, à la liquidation, à 85% du Smic net. Cet objectif se traduit par un minimum de retraite, soit 935 € actuellement, à peine au seuil de pauvreté : c’est insuffisant pour garantir une retraite décente pour vivre. Pour parvenir à cet objectif de 85%, un minimum contributif « majoré » a été instauré et revalorisé de 9,3% en trois étapes, en 2004, 2006 et 2008. Ces majorations n’ont été appliquées qu'au flux des nouveaux pensionnés. Lors de sa création en 1983, le niveau du minimum contributif, pour une carrière complète, permettait d’amener le niveau du total des pensions à 95% du Smic net. Compte tenu de l’indexation des pensions liquidées sur l’évolution des prix, on constate une baisse de ce rapport, qui ne représente plus, aujourd’hui, que 60%.
Le minimum contributif montre des insuffisances. Du fait de son indexation sur les prix, le minimum contributif à nouveau par rapport au Smic. Ce phénomène, qui a conduit en 2003 à des revalorisations particulières, risque de nous éloigner de l‘objectif affiché par la loi.
De plus, à compter du 1er janvier 2012, le minimum contributif devient soumis à condition de ressources. Désormais, cette prestation est réservée aux assurés dont le montant total de la retraite (retraites de base et régimes de retraite complémentaire) n'excède pas un seuil mensuel fixé à 1 005 € .
Les organisations syndicales de retraités revendiquent un revenu de remplacement de haut niveau et garanti pour les retraités du privé et du public et demandent :
Ÿ un minimum de retraite des régimes obligatoires qui ne puisse être inférieur au Smic pour une carrière complète ;
Ÿ une revalorisation des retraites pour tous, en particulier des basses pensions ;
• un autre mode d’indexation des pensions ;
Ÿ le retour de la revalorisation des pensions du régime général et des régimes alignés au 1er janvier de l’année.

3. La nécessité de combattre le risque de pauvreté chez
les retraités et personnes âgées
Les situations de retraités et personnes âgées dans la précarité qui vivent avec les minima de retraite, en dessous du seuil de pauvreté, sont une dure réalité sociale. Les récentes études du Conseil d’orientation des retraites précisent que si « le taux de pauvreté des personnes âgées avait fortement baissé entre 1970 et 1996, il n’est plus régulièrement et fortement orienté à la baisse comme par le passé et se situe aux environs de 10% en 1996 comme en 2007 ».
3.1. Près de 10% des personnes âgées de plus de 60 ans vivent sous le seuil de pauvreté (954 €/mois en 2009)
Selon des estimations de l’Insee en 2007, la proportion de personnes âgées de 60 ans et plus disposant de revenus inférieurs au seuil de pauvreté représente environ les ¾ de celle observée sur l'ensemble de la population (9,7%, contre 13,4% en 2007).
Près de 600 000 personnes âgées de plus de 60 ans perçoivent l’Aspa
Même si le nombre de bénéficiaires a été divisé par quatre depuis 1960, 576 000 personnes perçoivent au 31 décembre 2010 l’allocation de solidarité aux personnes âgées (ex-minimum vieillesse. Depuis le 1er janvier 2006, l’Aspa se substitue au minimum vieillesse. Elle constitue un montant minimum de pension de vieillesse accordé, sous condition d’âge (65 ans, âge abaissée à 60 ans en cas d'inaptitude reconnue), sous condition de résidence et de régularité de séjour en France et sous condition de ressources, aux personnes qui n'ont pas suffisamment cotisé ou ayant trop peu cotisé pour bénéficier d’une retraite suffisante.
La loi de financement de la Sécurité sociale pour 2009 a organisé la revalorisation de 25% du minimum vieillesse à l’horizon 2012, (777 € mensuels en 2012). Toutefois, son décret d’application restreint le bénéfice de ces dispositions aux situations des personnes seules, ou lorsque seul un des conjoints, concubins ou partenaires liés par un pacte civil de solidarité bénéficie de l’ASPA.
Les organisations syndicales de retraités dénoncent la limitation du champ d’application de cette garantie de ressources aux retraités et personnes âgées seules ainsi que l’exclusion délibérée des couples.
3.2. Plus de 4,2 millions de retraités perçoivent le minimum contributif
Le « minimum contributif » été instauré en avril 1983 pour garantir aux bas salaires un minimum de pension, s’adresse aux retraités dont la pension, calculée au taux plein de 50 %, n’atteint pas le niveau réglementaire et s’avère inférieur au montant du minimum vieillesse. Aujourd’hui, 38,5% des retraités, soit plus de 4,2 millions de personnes, perçoivent le minimum contributif. . Et cette proportion va croissant : presque un nouveau retraité sur deux se trouve dans ce cas. Mais cette population très hétérogène comprenant notamment une majorité de femmes célibataires, veuves ou divorcées.
Les organisations syndicales de retraités réclament une amélioration de ce dispositif de solidarité et demandent que sa pérennité soit assurée.


4. La nécessité d’améliorer les pensions de réversion
Les bénéficiaires des pensions de réversion sont, en une très large majorité, des femmes : elles représentent 95% des prestataires. Son montant représente 53% de la retraite des femmes et 16% de celle des hommes, compte tenu des différences de parcours de carrière et de salaire moyen.
Dans le régime général la réversion est attribuée sous une triple condition de mariage, d’âge et de ressources. Le taux de réversion est de 54% des droits du conjoint décédé dans la limite d’un plafond de ressources. Suite aux mesures prises en 2008, ce taux est porté à 60% lorsque le conjoint survivant a plus de 65 ans et sous condition de ressources (moins de 2 472,45 €/trimestre en 2011). La condition d’âge (au moins 55 ans) a été réintroduite en 2009. Dans les régimes complémentaires (Arcco, Agirc, Ircantec), la pension de réversion est versée sous condition de mariage et d’âge, sans condition de ressources. Dans les fonctions publiques, la réversion est ouverte sous condition de mariage, mais sans condition d’âge, ni condition de ressources. En cas de remariage, le droit à pension de réversion est supprimé. Le taux de réversion est de 50% des droits du conjoint décédé.
La mesure de revalorisation de la pension de réversion, prise en 2008, a été utile pour les personnes disposant de très faibles ressources, mais elle est insuffisante.
Les organisations syndicales de retraités revendiquent l’amélioration des pensions de réversion servies par les régimes obligatoires du secteur privé et de la fonction publique.
Elles réclament l’augmentation du taux de la pension de réversion dans tous les régimes qui devrait être porté à 60 %.




samedi 24 mars 2012

Des mesures légales, certes, mais qui in fine, vont amputer le pouvoir d'achat des salariés et retraités.

Amis lecteurs,
Vous trouverez ci-dessous une information de première importance ,transmise par notre secrétaire départemental Jacques Marquois.
Bonne lecture et soyez vigilants.


La mesure, parue discrètement jeudi au Journal Officiel sous forme d'un décret et d'un arrêté (Décret n° 2012-386 du 21 mars 2012 relatif au contenu des contrats d'assurance maladie complémentaire bénéficiant d'aides fiscales et sociales) entre immédiatement en application et oblige les complémentaires santé (mutuelles, assurances, institutions de prévoyance) à rembourser aux patients des dépassements d'honoraires plafonnés à 50% au-dessus du tarif Sécu.
Sont concernés les dépassements pratiqués par des médecins spécialistes de bloc opératoire (chirurgiens, anesthésistes, obstétriciens) qui sont actuellement en "secteur 2", c'est-à-dire qui sont autorisés à demander plus à leurs patients que le tarif remboursé par l'assurance maladie, contrairement a leurs confrères, les plus nombreux, exerçant en "secteur 1".
Ces praticiens qui le souhaitent vont pouvoir opter pour un nouveau secteur, que l'on appelait jusqu'ici "secteur optionnel" et désormais "option de coordination élargie". S'ils limitent leurs dépassements à 50% du tarif Sécu pour 70% de leurs actes techniques, l'assurance maladie prendra en charge leurs cotisations sociales (santé, retraite, etc...) sur les 30% des actes qu'ils devront continuer à effectuer au tarif opposable.
De plus, ces praticiens sauront que leurs dépassements ainsi plafonnés seront systématiquement remboursés par les complémentaires santé de leurs patients, alors qu'actuellement celles-ci appliquent leur propre politique de remboursement, plus ou moins généreuse.
Le décret signé par le Premier ministre François Fillon contraint les contrats santé dits "responsables", c'est-à-dire plus de 90% de ceux proposés par les complémentaires santé, d'inclure le remboursement de ces dépassements plafonnés.
L'arrêté, signé du ministre de la Santé Xavier Bertrand, complète un article de la Convention médicale signée en juillet 2011 par l'assurance maladie et des syndicats de médecins libéraux et fixe à 50% le dépassement autorisé pour les praticiens de bloc choisissant "l'option de coordination".
S'ils ont été publiés en toute discrétion, ces textes officiels ont suscité de nombreuses réactions, toutes très critiques.
La Mutualité française, fer de lance de l'opposition au "secteur optionnel", a dénoncé cette mesure. Son président Etienne CANIARD a évoqué "une obstination déraisonnable du gouvernement".
En conclusion : les mutuelles vont augmenter leurs tarifs et je vous laisse deviner qui, au final, paiera ce cadeau électoral...
Faites circuler l’information !

Circulaires 2011/2012 : N°29 (15.03.12)


Circulaires 2011/2012 : N°29 (15.03.12)
Origine : Claude Barratier, Annick Merlen
Destinataires : Sections départementales, Syndicats, groupements, CE
Objet : Recrutement
Réf : C29 – RECRUTEMENT


L’ESSENTIEL : Dans le cadre de notre réflexion sur l’avenir de la FGR-FP, le groupe de travail qui y est dédié, vous propose deux actions en terme de recrutement.


Vous trouverez en annexe deux fiches élaborées par Claude Barratier, délégué au recrutement.

L’une intitulée « les méthodes de recrutement » fait le point sur la mutualisation des « opérations de recrutement » effectuée par les participants aux stages nationaux organisés en 2009 et 2011.

L’autre vous propose l’organisation d’un stage départemental, à votre demande.

Vos éventuels commentaires, questions ou demandes de stage sont à envoyer à Claude BARRATIER : claude.barratier@wanadoo.fr

FIN DE CIRCULAIRE (+ 2 annexes)

Les méthodes de recrutement

Après les stages, la mutualisation des expériences dégage de grandes tendances.

Les stages mettaient en avant l’utilisation du fichier de NANTES  à comparer au fichier national pour ne pas proposer l’adhésion directe aux membres de la FGR par voie syndicale, et la comparaison de deux fichiers (deux années successives) d’adhérents syndiqués au fichier national concernant le département de recrutement afin de repérer les « désyndiqués » pour leur proposer d’adhérer.

J’estime à 10 % le nombre des anciens stagiaires utilisant ces moyens.
Le fichier de NANTES  est jugé non rentable (nombre d’envois, nombre/ d’adhérents) par ceux qui ne l’utilisent plus en « arrosant large ». On préfère alors puiser dans la mise à jour du fichier de NANTES quelques dizaines d’adresses  sur des critères qui varient : on écrit à des adresses autour d’une ville où la FGRFP organise une action attractive. On prend les adresses pour contacter une personne connue d’un membre de la CE qui va faire la démarche. On élimine des professions que l’on juge plus éloignées de nous (La Poste France Télécom, l’Armée). On économise ainsi des timbres, et le « rendement » est meilleur par rapport au coût. Un seul département à ma connaissance envoie un mail à l’ensemble des adresses du fichier de NANTES (dernière mise à jour), et, quand une seconde opération de recrutement est mise en place dans l’année, elle s’adresse à des listes d’un fichier d’une année précédente qui a été expurgée des retours à l’envoyeur  pour adresse non licite d’après La Poste. Le rendement est meilleur qu’avec le dernier fichier.

Quant aux désyndiqués, il peut y avoir une résistance de principe (ils sont partis, on ne va pas les chercher), peut être ne conserve-t-on pas les fichiers des années précédentes. Là où on le fait le rendement est très supérieur à celui du fichier de NANTES.

Opérations de recrutement dont l’expérimentation se développe : Conférence attractive, invitation des adhérents à venir avec des amis, presse, publicité par des organismes amis. Les résultats sont bons. Il arrive que cet événement attractif soit utilisé à l’occasion d’un recrutement sur fichier de NANTES dans ce cas à double détente : fiche réponse d’adhésion et (ou) de participation à une réunion de recrutement, et inscription à l’événement qui sera alors réservé aux adhérents (passage obligé)!

Bouche à oreille systématique et ciblé (une équipe se partage la tâche)

Communication d’adresses d’adhérents potentiels à la section qui se charge de démarcher.

Coopération avec des syndicats affiliés pour connaître des adresses, en particulier ceux qui vont prendre leur retraite et à qui on écrira 2 ou 3 ans après

Coopération avec la MAIF, la MGEN (adresses)

Suivi des collègues non syndiqués qui viennent aux manifestations et propositions d’adhésions.

Mise en place d’un fichier de sympathisants qui n’ont pas encore donné suite et auxquels on envoie régulièrement des informations dans un réseau Internet.

Equipes de travail qui se réunissent et testent d’autres moyens d’entrer en contact 


Recrutement d’adhérents directs.

Nous vous  proposons d’expérimenter  une démarche globale de recrutement dans des départements volontaires afin d’étudier l’efficacité de cette approche d’équipe,  avec un  suivi de  ses résultats.

Nous proposons donc une journée de travail avec toute l’équipe de la CE  du département volontaire. Une étude de la situation et des difficultés particulières du département précèdera la mise en place d’une action collective, concertée, globale, afin qu’aucun « recruteur » ne se sente isolé pour effectuer ce travail. Il serait utile d’installer un ordinateur dans la salle de réunion,  ou plusieurs si des membres de la CE ont des portables. Les frais de cette réunion seront pris en charge par le budget national.

Les départements ayant très peu d’adhérents directs pourraient être prioritaires avec un objectif ambitieux de doublement de leur nombre en deux ans.

Merci de retourner la fiche de candidature ci-dessous :

Département :
Moment favorable et lieu possible :
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

Nombre de membres de la CE qui seraient présents pour s’investir ensuite en équipe :
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

Téléphone et mail de la personne à contacter pour mettre cette action en place :
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

Demande de renseignements éventuelle avant de confirmer la candidature : Notez ici votre demande :
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………